2017 : Une année … circulaire ;) / Jean-Christophe Delhaye

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Alors que 2017 ouvre ses portes à nos voeux les plus chers , pourquoi ne pas nous souhaiter une année 2017 riche en initiatives positives et constructives… en économie circulaire?

Une nouvelle année avec des projets porteurs d’avenir tels que ceux dont nous avons l’habitude de partager ici régulièrement,chers lecteurs.

Une année où ‘penser intelligent’ rime avec rationalité dans nos habitudes et nos usages de consommateurs pardon de consomm’acteurs !

Alors oui,’osons l’avenir’ ensemble pour un monde où l’humain deviendra le vecteur d’idées pour un meilleur ‘vivre ensemble’.

Voeux pieux?

Et pourquoi pas oser l’utopie afin de la transformer en réalité?

Il n’en tient qu’à nous … tous 🙂

 

Bonne et heureuse année 2017!

Jean-Christophe Delhaye

 

Quelques vidéos sur la chaîne Youtube ‘Jean-Christophe Delhaye’ à visionner en ces temps hivernaux, bien au chaud 😉

biodiversité/documentaires 2016/Jean-Christophe Delhaye

Ecovillages Colombie / COP22 / Jean-Christophe Delhaye

COP22/COP 22 environnement ONU/Jean-Christophe Delhaye

Sauvegarde de l’environnement / Jean-Christophe Delhaye

Bons visionnages à vous tous et Happy 2017 ! Jean-Christophe Delhaye

Alors que se profile, en juin 2017, un événement international à Luxembourg, le Grand-Duché peaufine ses actions en matière d’économie circulaire. Jean-Christophe Delhaye

L’économie circulaire en cinq chiffres par Jean-Christophe Delhaye

Le compte à rebours est lancé. Dans six mois, presque jour pour jour, le Grand-Duché sera l’hôte du Luxembourg Circular Economy Hotspot 2017, un rendez-vous international qui réunira plus de 200 experts venant du monde entier. «Une belle opportunité pour le Grand-Duché de se positionner sur l’échiquier international», se réjouit d’avance la secrétaire d’État à l’Économie Francine Closener. «Cela contribuera sans doute à la promotion du Luxembourg comme un pays précurseur où de nouveaux modèles d’entreprises basés sur le principe du produit comme service deviennent peu à peu la norme.»

L’économie circulaire tourne bien au Luxembourg, et même si elle ne crève pas l’écran, les initiatives qui y sont liées sont de plus en plus nombreuses et spontanées. «On sent un décollage sur plein de niveaux. Les choses bougent et ce n’est pas un hasard si cette tendance apparaît de manière transversale dans l’étude Rifkin», constate Romain Poulles, président du Luxembourg EcoInnovation Cluster, qui sera le coordinateur de l’événement programmé du 20 au 22 juin 2017.«Le grand défi est d’être capable de repositionner l’Homme au cœur de toute initiative. Se demander ce qui est important pour lui avant d’entamer les réflexions sur la construction d’un bâtiment ou le lancement d’un service. La notion de ‘smart’ ne doit rien être d’autre qu’un ‘moyen au service de’. Parler de smart citizens plutôt que de smart cities et garder à l’esprit que l’ICT, par exemple, doit être au service de quelque chose et non pas une fin en soi.»

En février 2015, le gouvernement présentait une étude sur le potentiel de l’économie circulaire. «Depuis, il y a eu une évolution positive combinée à une prise de conscience générale, à la fois au niveau des entreprises, des citoyens et aussi au niveau du secteur public», note Francine Closener. Pour piloter et accompagner la mise en œuvre d’un plan d’action structuré, un groupe stratégique pour l’économie circulaire a été mis en place, qu’elle préside conjointement avec le secrétaire d’État au Développement durable et aux Infrastructures Camille Gira.

Parallèlement, les initiatives nationales se sont multipliées: le programme Fit4Circularity pour soutenir les PME dans leurs démarches; le développement du circular hot spot à Wiltz (avec une zone d’activités économiques, un quartier résidentiel, un bâtiment d’appartements, un Repair Café ou encore un Fab Lab…); le déploiement de quelque 100.000 compteurs intelligents afin de mesurer la consommation d’électricité et de gaz naturel et la réutilisation des «vieux» compteurs pour fabriquer de nouveaux produits; l’extension en cours de la zone d’activités économiques de Eselborn/Lentzweiler avec l’objectif de créer un guide des bonnes pratiques qui sera ensuite applicable à n’importe quelle autre zone d’activités… La liste est loin d’être exhaustive.

«Un des projets phares dont on ne parle pas beaucoup concerne le Luxembourg Automotive Campus de Bissen», ajoute Romain Poulles. «Un appel à candidatures vient d’être lancé pour la construction d’un bâtiment pilote qui rassemblerait toutes les fonctions communes du site: centre d’événement, salles de réunion, restauration, laboratoires communs… Ce sera une réalisation exemplaire en termes d’économie circulaire et, d’ailleurs, c’est tout le masterplan du site qui est en train d’être revu pour devenir ‘circulaire’.»

La multiplication des initiatives et des projets pilotes a également pour objectif de peaufiner les aspects juridiques, légaux ou techniques qui peuvent encore faire obstacle au déploiement d’un tel concept à grande échelle dans le pays. «À l’avenir, les pratiques de passation des marchés publics tiendront davantage compte des principes de l’économie circulaire», indique Mme Closener, attentive par ailleurs à ce que les autres pays font en la matière, et dans l’attente de l’annonce, par la Commission européenne, d’un train de mesures définitif sur l’économie circulaire.

Les entreprises aussi s’y mettent directement: Chaux de Contern propose désormais des services liés au revêtement; Astron développe un projet de parking à Esch en ayant pris des engagements fermes sur la récupération de la structure métallique à des prix fixés au départ, ce qui allège la facture du prêt pour les investisseurs… là encore, la liste est loin d’être exhaustive.

Quant aux communes, 2017 sera, pour certaines d’entre elles, une phase de tests dans le cadre du Pacte climat (que seule Weiswampach n’a pas signé) pour la mise en application de réflexions liées à l’économie circulaire selon plusieurs critères, entre autres l’économie de services, la réutilisation des ressources ou encore la flexibilité des bâtiments. Objectif: généraliser ces pratiques à partir de 2018. «Luxembourg sera alors le premier pays au monde à fournir un cadre pour développer et stimuler les idées de l’économie circulaire dans les communes», se réjouit d’avance Romain Poulles.
Le Grand-Duché a encore plus d’un tour dans son sac pour se différencier à l’échelle mondiale…

Jean-Christophe Delhaye

L’économie circulaire en cinq chiffres: jean-christophe-delhaye-environnement-economie-circulaire-luxembourg-2016

The promise of a digitally enabled circular economy. Jean-Christophe Delhaye

Voici un article paru récemment en anglais démontrant le lien innovation-économie circulaire comme indissociable d’un futur sociétal plus prometteur.

Je vous laisse en faire lecture et,n’hésitez pas,si vous avez quelques questions/suggestions à me les transmettre sans hésitation 😉

Au plaisir de vous lire,chers lecteurs de ce point d’info modeste mais ô combien utile sur l’économie circulaire au quotidien

A très bientôt, Jean-Christophe Delhaye

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Where is innovation heading in the 21st century? For every new technology poised to reinvent the way we live, work and interact, there seem to be many more incremental or even superficial improvements, rolled out by businesses wrestling for customer dollars. 

Enter the circular economy: a rich and largely untapped seam of innovation that not only works for businesses, citizens and governments, but also can support the switch to a positive development path for the global economy. 

This comes at a time when the linear « take-make-dispose » model that worked so well for so many is starting to reveal its limitations. A loud chorus, dispersed across countries and industries, is calling for a new model, one that embraces feedback, encourages regeneration and facilitates access and abundance.

The digital revolution holds a lot of promise for this circular economy, and there’s good reason to be optimistic about the future, in which emergent trends in technology and computing enable us to move to a model that understands and harnesses flows of resources, energy and information, creating the conditions for a new 21st century prosperity.

 

In the past six years, this has gone beyond theory alone. In the 2015 study Growth Within: A circular economy vision for a competitive Europe (PDF), the Ellen MacArthur Foundation, McKinsey and SUN estimated that the circular economy could be worth 1.8 trillion euros to Europe by 2030. That’s just over $2 trillion, or roughly the GDP of India.

What’s more, Growth Within suggested that the lion’s share of the economic opportunity highlighted in the report is directly linked to technological advances. Tracking systems and mobile apps, whether as a key driver or a convenience factor, allow for a considerable jump in asset use rates as well as material flows optimization, the benefits of which add up to $1.35 trillion   two-thirds of the overall potential.

[Learn more about the circular economy at VERGE 16, Sept. 19 to 22, in Santa Clara, California.]

So these new tools and techniques are helping businesses take practical steps to support the transition to a circular economy, but the connection is even more profound. As Samuel Arbesmn stresses in his recent book « Overcomplicated, » the more we understand digital networks, the more we realize that it’s not enough to make isolated tweaks and expect improvement or a quick fix.

That means that if we really want to tackle the difficult economic, social and environmental problems of today and tomorrow, then systems thinking skills, in conjunction with the technology to understand systems, will be essential to build resilience and thrive in an uncertain future. 

William McDonough has stressed how businesses first should identify their values and principles before setting targets or objectives, and this philosophy also should be applied to the digital revolution. While the pace of innovation around areas such as the Internet of Things, automation, cloud computing, deep learning and digital fabrication is undoubtedly rapid, without an overarching set of principles, we’ll remain on a primarily linear development path.

 

This would only scratch the surface of the potential benefits found when the digital revolution unfolds in concert with the circular economy. The following principles could provide much-needed vision for current disruptive trends:

Preserve and enhance natural capital by managing finite stocks and balancing renewable resource flows.

Optimize resource yields by circulating products, components and materials at the highest utility and value at all times in both technical and biological cycles.

Foster system effectiveness by revealing and designing out negative externalities.

What does this mean in practice?

This could mean more access to services and at the same time less material consumption. One car benefiting five users, through a sharing platform, is the obvious example. It’s not so much how much stuff you manage to sell, it’s how you manage the assets to make the most of them and generate revenue through service provision.

Some pioneers are already thinking this way — just take a look at Elon Musk’s latest Tesla strategy, which covers renewable energy, accessible mobility and « enabling your car to make money for you when you aren’t using it. »

Rather than consuming materials and extracting value from selling assets, we can foresee a regenerative model which maintains and builds capital. This includes natural capital; applying technology not just to increase efficiency and « do less bad, » but to monitor land degradation, localized and specialised management of nutrient loops, and biodiversity.

 

At the heart of the circular economy lies design for product life extension through restorative activities such as repair and remanufacturing, or for the recovery of material value. This becomes possible when IT is powerful and pervasive enough to enable those loops, when smart and connected objects not only can perform tasks, but also give information regarding what they’re made of, where they are and how they can be upgraded or repaired. In a way, you could say that in the pre-digital world we used to work for materials, and now materials work for us. 

The first Industrial Revolution was about steam, water mills and the first age of machines. The second one introduced electricity, which during the second half of the 20th century morphed into electronics, ICT and automation, or the third revolution.

The deep transformation we’re experiencing now is sometimes called the fourth Industrial Revolution, and its digital backbone has the potential to profoundly transform our relationship with the material world. Guided by the circular economy framework, it can put us on a positive path to a regenerative economy.

Jean-Christophe Delhaye

jeanchristophedelhaye.wordpress.com

Biomasse 13, un bel exemple d’économie circulaire à Marseille (Jean Christophe Delhaye)

biomasse 13 Jean-Christophe Delhaye
Biomasse 13 produit, vend et livre des granulés et de la sciure de bois, ainsi que des pellets et des bûches densifiées.

C’est à Marseille, dans le quartier de la Valentine, que l’entreprise Biomasse 13 a réussi son pari : fabriquer une énergie renouvelable en circuit court, à partir d’un déchet.

Olivier Macone, cogérant de l’entreprise marseillaise Biomasse 13, avait prévenu :

« Pour bien comprendre notre activité, une petite visite des lieux est primordiale. Tout se joue ici. »

A l’extérieur du hangar, des palettes en fin de vie sèchent au soleil et dans le vent. Elles ont été utilisées le plus souvent pour le transport de marchandises avant d’être jetées.

Ces palettes sont ensuite broyées. Les clous sont récupérés et vendus, puis le broyat obtenu devient de la sciure après son passage dans un affineur. La phase ultime se nomme la granulation. Il s’agit de transformer la sciure en granulés de combustible de bois. « La magie s’opère sans produit chimique », insiste Olivier Macone.

Biomasse 13 est donc spécialisée dans la production, la vente et la livraison de granulés de bois, de sciure de bois sèche ainsi que depellets et de bûches densifiées. De la matière première idéale pour se chauffer (chaudières à granulés de bois ou pellets), qui peut également être utilisée comme litière pour animaux (chevaux, chat, lapin). Une activité économique qui s’inscrit parfaitement à la fois dans la transition énergétique et dans l’écologie industrielle.

Démocratiser le produit

Reste que pour le moment, ce type de chaudières n’est pas encore massivement utilisé.

« Nous avons fait le job en prenant un pari sur l’avenir. C’est au tour des pouvoirs publics mais aussi des constructeurs de jouer le jeu. »

Pas de doute pour Thomas Lize, associé de la société : « Nous sommes dans la mauvaise région. Il n’y a pas eu d’hiver depuis deux ans. »

Si le bois est en train de se faire une place non négligeable dans ce marché des énergies renouvelables, un effort de pédagogie pour démocratiser le produit doit donc encore être fait.

C’est dans cet esprit que l’usine, sur rendez-vous, peut ouvrir ses portes à des groupes scolaires, mais aussi à des architectes et autres prescripteurs intéressés par ce dispositif. « Nous sommes très fiers de ce que nous avons mis en place », insistent Olivier Macone et Thomas Lize.

 

Jean Christophe Delhaye

 

PS : vidéos également intéressantes à consulter sur ma Chaîne Youtube ‘Jean-Christophe Delhaye’ Biomasse/Jean-Christophe Delhaye Biomasse, exemples concrets en images! Jean-Christophe Delhaye

Présentation de l’économie circulaire (Jean-Christophe Delhaye)

Jean-Christophe Delhaye nous fait découvrir toute l’actualité récente environnementale.
Avec une approche plus pointue et diversifiée sur l’économie circulaire dans le quotidien de chacun…
Une économie porteuse d’avenir et d’emplois nouveaux.
Jean Christophe Delhaye

economie-circulaire-schema-Jean Christophe DelhayeUne économie circulaire propose de contrôler tous les flux dans le but de reproduire autant que possible le fonctionnement cyclique des écosystèmes naturels. Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommationet le gaspillage des matières premières, et des sources d’énergies non renouvelables. Il s’agit donc de déployer une nouvelle économie circulaire, et non plus linéaire, fondée sur le principe de « refermer le cycle de vie » des produits, des services, des déchets, des matériaux, de l’eau et de l’énergie. (Définition du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie français)

L’économie circulaire fait référence à un panel de concepts, certains étant connus et appliqués aujourd’hui, d’autres étant plus innovants :

  • le réemploi,
  • le recyclage,
  • l’écologie industrielle qui permettra à des déchets d’une entreprise d’être reconvertis en matières premières d’une autre industrie ou de la même,
  • l’éco-conception vise à adopter une approche innovante : dès la conception du bien, une analyse de chaque étape du cycle de vie du bien est réalisée afin de minimiser les impacts environnementaux et d’optimaliser le réemploi voire le recyclage.

Cette remise en question du business model d’une entreprise peut mener vers une seconde approche : l’économie de fonctionnalité (ou économie de l’usage). L’économie actuelle se base sur la vente du bien au consommateur qui en devient propriétaire. L’économie de fonctionnalité remplace cette notion par celle de la vente de l’usage du bien et incite, par conséquent, les entreprises à aller à l’encontre de l’obsolescence programmée, à optimiser la consommation d’énergie, de matières premières, d’eau, etc.

Economie circulaire et économie de fonctionnalité sont donc intimement liées. L’économie circulaire implique donc une stratégie globale, cohérente, de la conception à la récupération du bien et pouvant mener jusqu’à la redéfinition du mode de consommation du bien.

Jean-Christophe Delhaye

 

PS: Quelques liens utiles (régulièrement mis à jour) sur ma chaîne de vidéos Youtube

a) L’ éco-conception/Jean-Christophe Delhaye

https://www.youtube.com/playlist?list=PLBGNFkOOEyhTPzwGXxCiqtZmbSWJQRGL

b) Economie Circulaire/Circular Economy/Circulaire Economie/Jean-Christophe Delhaye

 

c) Campagne « Ça suffit le gâchis » le supermarché!

(Campagne ADEME France Jean-Christophe Delhaye )

https://youtu.be/Gb04ghrVqeU

 

d) Biodiversité Veolia par Jean-Christophe Delhaye

e) La permaculture, l’agriculture urbaine du futur?/ Jean-Christophe Delhaye

La Ferme du Bec Hellouin- permaculture, beauté, espoir- Jean-Christophe Delhaye

Si vous vous intéressez à la permaculture et/ou que vous avez vu le film Demain, vous connaissez certainement la Ferme du Bec Hellouin. J’en avais également parlé sur le blog à l’automne dernier, lorsque je vous avais présenté Permaculture, le livre de Perrine et Charles Hervé-Gruyer qui sont les fondateurs de ce lieu unique. La […]

via La Ferme du Bec Hellouin- permaculture, beauté, espoir — Échos verts

Chaîne Youtube de Jean-Christophe Delhaye

youtube

 

Voici quelques liens de vidéos Youtube (Chaîne Jean-Christophe Delhaye) relatives à l’économie circulaire

Here some recent articles related to Circular Economy & Environment on my Youtube Channel (Jean-Christophe Delhaye)

Liens de vidéos sélectionnées pour vous (Jean-Christophe Delhaye) :

https://www.youtube.com/channel/UCrARIrhws0fcPlL1tFVeAmg

https://www.youtube.com/watch?v=vuxJ2aZmJas&list=PLBGNFkOOEyhSQrO1pHKdUW_k8QZw3rD99

 

Merci et à très bientôt! Jean-Christophe Delhaye

https://jeanchristophedelhaye.wordpress.com/2016/01/12/liste-de-quelques-articles-a-decouvrir-sur-leconomie-circulaire-a-vous-de-juger-jean-christophe-delhaye/

http://www.scoop.it/t/economie-circulaire-6/p/4058031517/2016/01/10/economiereelle-qu-est-ce-que-l-economie-circulaire-jean-christophe-delhaye

Fabriquer des peintures qui ne polluent pas, c’est possible en Belgique! Jean-Christophe Delhaye COP21

Jean-Christophe Delhaye,l'économie circulaire (articles,Youtube,...)

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La conférence sur le #climat, #COP21, a démarré lundi à Paris. Près de 50 000 personnes du monde entier y sont rassemblées et vont essayer de trouver un accord pour limiter le réchauffement climatique.

Mais, à Charleroi aussi, des personnes contribuent à la protection de l’environnement à leur échelle.

C’est le cas d’Etienne Deloz qui travaille au sein de l’asbl Espace Environnement à Charleroi. Il y propose des ateliers de fabrication de peinture naturelle dont il parle aisément :  » C’est à partir de matériaux simples de la nature comme la chaux, l’argile et l’huile de lin que je propose de fabriquer des peintures qui ne vont pas polluer les espaces intérieurs parce que ce sont des peintures qui ne vont pas dégager d’odeurs toxiques. Le gros avantage de ce type de peinture naturelle, c’est que vous rendez au mur sa capacité de pouvoir gérer l’humidité de l’air ambiant. La…

Voir l’article original 82 mots de plus

#COP21 : le mot qui a failli faire capoter l’accord! Jean-Christophe Delhaye

Les représentants de l’administration Obama ont découvert, tôt samedi, qu’une phrase aurait pu conduire le texte devant le Sénat américain, majoritairement républicain et climatosceptique.

Les représentants de l’administration Obama ont découvert, tôt samedi, qu’une phrase aurait pu conduire le texte devant le Sénat américain, majoritairement républicain et climatosceptique.

Sourced through Scoop.it from: www.lemonde.fr

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Sourced through Scoop.it from: jeanchristophedelhaye.wordpress.com

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